Pour parler du Claude, Sylvain mélange le récit et les sons, la voix et les objets de jonglerie. Les mouvements donnent de la couleur aux mots : des balles pour décrire le Claude et ses activités, des diabolos pour raconter une histoire d'écureuil(s) et des bâtons du diable pour illustrer le regard que le Claude portait sur les majorettes.
Les musiques du spectacles sont assez contrastées : une guitare parfois "chanson française", parfois psychédèlique, parfois très Rock, un hang (musique "aérienne"), une flûte harmonique (ambiance onirique), du human beatbox (un clin d'oeil au hip hop) et un accordéon diatonique (musique traditionnelle).